Anne Crignon – Une belle grève de femmes: Retour sur la lutte des « Penn Sardin », Douarnenez, 1924. (2023)

À propos du livre

Les Penn Sardin, Douarnenez 1924. Douarnenez (Finistère), l’hiver 1924. Dans les vingt conserveries de sardines, deux mille « filles d’usine » œuvrent nuit et jour, au gré des arrivages, à emboîter au plus vite ce poisson fragile. Elles sont là entre dix et quatorze heures d’affilée pour une paye minuscule versée par des industriels – dont même le ministre du Travail dit qu’ils sont « des brutes et des sauvages ». Le 21 novembre, un patron refuse de recevoir des ouvrières exténuées. Les femmes de toutes les « fritures » descendent dans la rue. Le maire de la ville, un communiste, est à leurs côtés, et les marins-pêcheurs – leurs maris – aussi. Bientôt, toute la France suit dans les journaux le détail de cette « grève de la misère » devenue un feuilleton national. La solidarité s’organise. Le patronat aussi. Des mercenaires armés arrivent de Paris. Les Penn sardin auraient dû perdre ; la pauvreté leur commandait chaque jour de reprendre le travail. Après plus de six semaines à battre le pavé en sabots, elles ont pourtant gagné. Récit d’une grève victorieuse

À propos de l'édition
Description

Auteur(s): Anne Crignon

Titre: Une belle grève de femmes: Retour sur la lutte des « Penn Sardin », Douarnenez, 1924.

Éditeur: LIBERTALIA

Pages: 200

Langue: Français

Format: Epub

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UGS : 1712364201-123 Catégories : , ,

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Auteur(s): Anne Crignon

Titre: Une belle grève de femmes: Retour sur la lutte des « Penn Sardin », Douarnenez, 1924.

Éditeur: LIBERTALIA

Pages: 200

Langue: Français

Format: Epub

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À propos du livre​

Les Penn Sardin, Douarnenez 1924. Douarnenez (Finistère), l’hiver 1924. Dans les vingt conserveries de sardines, deux mille « filles d’usine » œuvrent nuit et jour, au gré des arrivages, à emboîter au plus vite ce poisson fragile. Elles sont là entre dix et quatorze heures d’affilée pour une paye minuscule versée par des industriels – dont même le ministre du Travail dit qu’ils sont « des brutes et des sauvages ». Le 21 novembre, un patron refuse de recevoir des ouvrières exténuées. Les femmes de toutes les « fritures » descendent dans la rue. Le maire de la ville, un communiste, est à leurs côtés, et les marins-pêcheurs – leurs maris – aussi. Bientôt, toute la France suit dans les journaux le détail de cette « grève de la misère » devenue un feuilleton national. La solidarité s’organise. Le patronat aussi. Des mercenaires armés arrivent de Paris. Les Penn sardin auraient dû perdre ; la pauvreté leur commandait chaque jour de reprendre le travail. Après plus de six semaines à battre le pavé en sabots, elles ont pourtant gagné. Récit d’une grève victorieuse

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